jeudi 6 août 2009

L' Epouvantail à jeunes femmes.

Voici la chose qui se plaît à ressasser que je ne suis pas beau, boudiné, plouc depuis des mois sur Causeur. Non, il ne s'agit pas de Freddy Krueger ou de Jean-Pierre Castaldi au carnaval de Dunkerque, mais bien de Patrick Mandon le séducteur virtuel(on comprend vite pourquoi).

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je vous lis depuis longtemps dans causeur monsieur Lefebvre. N'écoutez pas ce jaloux,vous avez un talent incroyable et vous dites la vérité. c'est pour ça qu'il vous embête. Mes copines et moi on vous aime bien. Faites d'autres livres sans perdre de temps.

En plus, il est affreux et vous êtes beau.

Ludo Lefebvre a dit…

Merci anonyme. La même que sur l'autre billet ? Ainsi qu'à vos amies.

Il est certain que je n'ai pas envie de ressembler à cet homme, encore moins d'écrire aussi mal que lui. L'Histoire est torturée par des inventions et l'ignorance, les lettres souffrent, il y a du plagiat à foison, aucune empreinte personnelle et nous subissons une forme qui n'entraîne pas un fond puisqu'il est absent.
La politique, la théologie ne sont pas plus ses domaines.

Bah,laissons de coté cet âne confus, ce n'est qu'un moderne parmi tant d'autres à la lucidité gâchée par la quête d'approbation. Je suis fatigué de jouer dans sa petite cour, mes ambitions sont bien ailleurs.

Anonyme a dit…

Pour fréquenter parfois Causeur, je souscris à votre billet: Mandon est une vieille peau bagarreuse et sans aucun talent. Son style ampoulé, ses poses d'esthète à deux balles sont lassants. Etre égratigné par lui est une preuve de santé.
Et dire qu'il publie aussi sur ce site, Zaza Lévy a de ces charités mal placées!

G.

Ludo Lefebvre a dit…

Merci G.

Oui, c'est un phraseur qui tente de faire des lettres comme il faisait jadis de la brocante en volant des petits vieux. "On devrait toujours se méfier d'un penseur qui commence ses phrases par une citation" nous avertissait Cioran. La chose Mandon est un parangon en la matière, une photocopieuse comme il en existe tant dans notre monde bafoué des lettres. Si un écrivain n'a pas sa prose en carte d'identité, qu'il récite à l'envi, c'est qu'il n'est pas écrivain, mais documentaliste dans le meilleur des cas.