Mes bras fatigués qui ne te protègent plus
autour de tes reins en tenailles se sont serrés.
Encore ton amour et déjà ton macchabée,
Homme, misère, évolue poupée russe.
Le feutre de mon chapeau part peluche
ma peau en fidélité à lui le copie
près de toi est pourtant ici le paradis
et voilà que déjà, je quitte la ruche.
Je t'aime ma femme, je ne veux pas mourir.
L'homme protège, mais qui protège l'homme ?
Qu'un dieu venu de Perse, de Judée ou de Rome
Fasse l'exception de toujours nous rajeunir.
Chaque jour, j'ai peur d'après qui se rapproche.
Nos rides, nos maladies nous préviennent
que bientôt s'achève notre vie terrienne.
Non, ne pas voir, buvons jusqu'à nous vider les poches.
mardi 23 juin 2009
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