lundi 23 novembre 2009

Depuis si longtemps.

Lettre
du père Charles de Foucauld à René Bazin de l'Académie Française du 29
juillet 1916 ...

"Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de
notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il
se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie :
une élite intellec-tuelle se formera dans les grandes villes,
instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le coeur français,
élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera
l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre
part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante,
éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris
des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts
qu'elle a avec les Français (représen-tants de l'autorité, colons,
commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous
faire aimer d'elle. Le sentiment national ou barbares-que s'exaltera
dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par
exemple lors de diffi-cultés de la France au dedans ou au dehors, elle
se servira de l'islam comme d'un levier pour sou-lever la masse
ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman
indépendant.
L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie,
Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en
aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en
plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé
d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu
l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des
Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils
deviennent Français est qu'ils deviennent chré-tiens.
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais
tendrement, discrètement, par persua-sion, bon exemple, bonne
éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et
affectueuse, oeuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien
plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ?
Exceptionnellement, oui.
D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans
s'y opposent ; avec certains il y a des accommode-ments ; avec l'un,
celui du Medhi, il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des
libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du
jugement dernier le Med-hi surviendra, déclarera la guerre sainte, et
établi-ra l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou
subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde
l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme des-
tinés à être tôt ou tard subjugués par lui musul-man ou ses
descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une
épreuve passa-gère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à
son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse
l'engage à subir avec calme son épreuve ; "l'oiseau pris au piège qui
se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient
tranquille, il se trouve intact le jour de la libéra-tion", disent-
ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être
soumis aux Fran-çais qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les
premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français,
comme on est attaché à un ami étranger ; ils peu-vent se battre avec
un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère
guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires
de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d'une façon générale, sauf
exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français,
ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel
ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à
demander la nationalité françai-se : comment demander à faire partie
d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et
subjugué par le peuple auquel on ap-partient soi-même ? Ce changement
de nationa-lité implique vraiment une sorte d'apostasie, un
renoncement à la foi du Medhi.

lundi 16 novembre 2009

La simple peine.


Qui commet des actes racistes ?

Ces gens ingrats doivent partir de mon pays les ayant si bien accueillis. Je suis fatigué de voir nos enfants être victimes de cette barbarie décomplexée et soutenue par les politiques et les médias. Ce sera mon unique argument quant à l'identité nationale. Nous sommes chez nous, nous avons une façon de vivre très différente de la leur. Je me fiche qu'ils soient nés en France ou non, qu'ils aient une soeur gentille ou des difficultés sur leur propre terre. Il n'y a qu'une seule peine à infliger à cette pourriture : la valise ou le cercueil !

vendredi 13 novembre 2009

P’tit Marc

Surnom inadapté pour ce troubadour moderne Hindou blond comme une Pelfort pression natif de Valencienne.
P’tit Marc est un artiste de rue qui se produit devant le supermarché Franprix d’Etaples dans le Pas-De-Calais. Accompagné de ses deux chiens : Shiva et Visnu, ce saltimbanque itinérant qui ne bouge pas a pour compagne Nathalie qui se fait appeler Talou ou plus souvent encore Janis en raison de sa ressemblance très éloignée avec la défunte chanteuse Janis Joplin des années soixante-dix.
Le couple aux clébards se défoncent à la 8.6, au haschisch et à la dope, mais se dit clean, car les protagonistes à l’« originalité commune » ne prend pas de crack, de pinard ou de tranquillisants. Leur consommation est rétribuée par la générosité des gogos se laissant apitoyer à la sortie du magasin, pardon de leur scène à ciel ouvert. Le rmi est pour les cigarettes et la bouffe des cleps. Il est vrai que deux jeunes à la rue, cela attendrirait le plus austère huissier de province, sauf que ces deux là dorment dans la résidence secondaire des parents de Talou, non loin de là dans la luxueuse et luxuriante ville du Touquet. Bien sûr parfois, ils vont zoner à Paris, mais ils obtiennent dans ce cas des chambres dans les hôtels sociaux de la capitale, nos gouvernements successifs sont si généreux avec les marchands de sommeil aux tarifs exorbitants et pour les marginaux volontaires feignants par idéologie.
P’tit marc est de l’ultra-gauche comme son modèle, un autre faux pauvre le jet-setter Olivier Besancenot. , car il trouve que la société marchande est pourrie sauf son commerçant de père. Il se bat pour la paix dans le monde, pour les minorités, contre la pauvreté et l’injustice.
La droite est pourrie, bête, égoïste et méchante et la gauche est à son strict opposé, c'est-à-dire saine, intelligente, altruiste et gentille. Il a donc fait le choix courageux d’appartenir à son paroxysme : la gauche extrémiste qui n’est violente que contre les nazis, les fachos et les réacs si méchants qui empêchent les fleurs de pousser et qui n’ont pas compris que c’est le même sang qui coulent dans nos veines que l’on soit noir, jaune, juif ou arabe et même blanc. Heu, non pas les blancs sauf lui et ses amis. Il est pour la dépénalisation des drogues et contre les prisons symbole de la société bourgeoise ostracisée.

Marco ou P’tit Marc est jongleur, il lance des massues striées de vert, jaune, rouge couleur du reggae qui est la musique des oppressés noirs qui prônent la tolérance. Quand il allume son autoradio un cd de trans-techno, hard core accompagne sa jonglerie maladroite et peu importe si les massues tombent régulièrement, l’important étant le symbole qu’elle représente. Le problème est qu’il n’a toujours pas trouvé ce symbole, mais ça viendra.

Le monde du junky jongleur bientôt cracheur de feu après un stage de la Ville de Paris est une grande fête avec joints à la bouche où le travail est enfin aboli ,où les hommmes sont devenus sages et pacifistes. C’est dans ce dessin animé que cet enfant évolue à 35 ans et qui sait jusque la retraite d’une vie sans emploi. Pas grave, il héritera bien un jour et là….ce sera la big teuf !