C'est ma période :"grandes révélations égocentriques", ce doit être parce que les bonnes résolutions de l'année 2009 n'ont pas été entreprises, ni même pensées et que je n'ai donc le mental, ayant besoin constant de nourriture, occupé à d'autres pensées. En me regardant dans la glace ce matin- exercice que je ne pratique pas trop, car il génère la haine de soi ou l'adulation et les deux ne me conviennent pas- j'ai trouvé que je commençais à ressembler à Honoré de Balzac, heureusement pas tout à fait tout de même, mais suffisamment pour m'inquiéter. Déjà, j'ai les cheveux longs depuis un mois ou deux, mais surtout j' ai pris du volume en me faisant du muscle et du lard avec un emploi manuel ces derniers temps. Du muscle en soulevant des poids importants, du lard en mangeant à outrance de peur de tomber dans les pommes de fatigue. Si j'aime la maitre du roman réaliste, l'auteur de La Comédie Humaine avec passion, je n'ai vraiment pas envie de lui ressembler.
Souffrirais-je de ce que je nomme le syndrome du charcutier, ce commerçant qui vend, touche et mange du cochon pour finir par lui ressembler, suis-je en partie victime de mes lectures jusque physiquement ?
Horreur, malheur, désespoir, j'ai plein de jolies dames à rencontrer cette année dont certaines particulièrement intéressantes, en plus, au point de désirer les séduire et je suis passé de top model à moyen model, voire petit model. Et ceux qui veulent que je fasse de la politique à leur coté, que je sois exposer ? Non, ce n'est pas ainsi que je veux me montrer, c'est impossible. Un mois de jogging et je perds les sept kilos de trop, j'affine les muscles avec une diète protéinée.
Demain, je cours, après demain, je cours, pendant un mois, je cours.
Balzac, voici que je rejoue Splendeurs et Misères des Courtisanes, Paris me voici bientôt de retour.
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