La jeunesse romaine était encline au sentimentalisme, à l'ouverture d'esprit, elle souhaitait un monde plus juste. Il était anormal que les citoyens eussent tant de privilèges et que le barbare fut lésé, disait-elle. Le barbare devint le personnage à la mode, le jeune fils de tribun se mit à se laisser pousser les cheveux, à quitter la toge pour l'habit exotique, à écouter la musique allogène, à singer l'exclu, les frontières commencèrent à avoir du mal à être tenues et un jour, Rome disparut.
Cela ne vous rappelle rien ?
samedi 10 janvier 2009
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