On nous présente avec une émotion toujours présente la soit-disant dramatique disparition de Claude François. j'ai entendu naguère des légendes sur le compte de la mort du chanteur maquillé : il se serait fait péter le fion par un gros noir ce qui aurait déclenché une hémorragie, son god se serait emballé et l'aurait électrocuté en pleine jouissance autoérotique etc. J'ai pris pour habitude de ne pas me laisser embarquer dans des invérifiables théories, des révélations douteuses. Lorsqu'il est mort, je me souviens de la joie ressentie pensant avec ma naive âme d'enfant que nous ne l'entendrions plus à la télé, à la radio. Les "cacures" de mon quartiers pleuraient à chaudes larmes étaient inconsolables et ses disques passaient toute la journée dans les chambres des jeunes débiles en pleurs, fenêtre grandes ouvertesafin que personne n'échappe à leur discret chagrin.
Il est étonnant de découvrir le fan club de Cloclo aussi navrant que celui de Johnny Halliday (rare) !
Trente ans que cela dure et quand je pense que Patrick Bruel n'est pas encore mort, nous en avons encore pour un siècle de médiocrité chansonnière.
vendredi 14 mars 2008
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